
Il y a les vaches, les cochons, les cloches d’église et la famille qui nous attend à la porte. Il y a du gravier au sol et c’est comme si on se réconciliait avec son passé. Voilà ce qu’on espère retrouver lorsqu’on «rentre au pays» pour un repas de famille. Mais on déchante vite face à «la parentèle». Racontée par trois comédiens qui complètent mutuellement leur récit, comme s’ils avaient tous trois vécu exactement la même journée en famille, comme s’ils n’étaient qu’une seule et même personne avec trois timbres de voix différents, cette histoire touche à l’universel. Un universel où les voix s’entremêlent... Lire la suite »